Dans cette vidéo, Mathieu partage son incroyable parcours.
Depuis l’enfance, il souffrait de douleurs digestives chroniques, diagnostiquées comme une colopathie fonctionnelle.
On lui disait qu’il devait apprendre à vivre avec ces symptômes. Ou encore que ses douleurs digestives étaient dues à son stress.
Mais tout a changé lorsqu’il a découvert que sa colopathie était en réalité le SIBO.
Grâce à mon programme « Comment savoir si j’ai le SIBO », il a enfin pu mettre un nom sur ses douleurs digestives et suivre un protocole efficace pour éliminer définitivement son SIBO en un seul cycle de traitement.
Ce que tu vas découvrir :
- Les symptômes du SIBO qui se confondent souvent avec la colopathie.
- Pourquoi tant de personnes sont diagnostiquées « colopathie fonctionnelle / syndrome de l’intestin irritable » et continuent de souffrir inutilement.
- Comment le test respiratoire du SIBO a permis à Mathieu de comprendre l’origine de ses douleurs digestives.
- Les étapes clés qui lui ont permis de suivre un protocole naturel pour guérir du SIBO en un seul cycle de traitement.
Qui devrait regarder cette vidéo ?
- Si tu as été diagnostiqué avec une colopathie fonctionnelle ou syndrome de l’intestin irritable et continuent de souffrir de douleurs digestives.
- Si tu cherches des solutions naturelles et efficaces pour tes douleurs digestives chroniques.
- Si tu te demandes si tu as un SIBO non diagnostiqué et veux en savoir plus sur le test respiratoire du SIBO.
- Si tu te demandes comment guérir du SIBO définitivement.
Voici le témoignage vidéo de Mathieu qui va énormément t’apporter :
Si tu préfères lire plutôt qu’écouter, voici la transcription écrite de cette vidéo :
Isabelle (moi) :
Bonjour tout le monde, bonjour Mathieu, je suis avec Mathieu aujourd’hui qui va nous raconter son histoire, qui a découvert qu’il avait un SIBO et qui a éradiqué son SIBO en un cycle de traitement. Bonjour Mathieu, comment tu vas?
Mathieu :
Bonjour ça va, merci.
Isabelle (moi) :
Alors raconte-nous ton histoire, ton parcours, les symptômes que tu avais quand tu m’as contacté et que tu as rejoint le programme « Comment savoir si j’ai le SIBO? » et à l’époque, tu ne savais pas que tu souffrais d’un SIBO. Raconte-nous tout.
Mathieu :
Oui. Je vais essayer de faire court parce que l’histoire peut être longue. Aujourd’hui, j’ai 36 ans et au plus loin que je me souvienne, mes symptômes ont démarré quand j’étais enfant. C’est un peu flou, mais je me souviens avoir passé à travers plusieurs épisodes de gastroentérite. J’avais pris des antibio et… Je me souviens qu’à l’école, j’avais mal au ventre tous les matins avant de partir à l’école, dans une période. J’ai dû consulter des médecins et j’ai assez vite été diagnostiqué colopathe. C’était assez tôt. J’ai fait plusieurs examens. J’ai vu plusieurs médecins, c’est un peu flou parce que ça a vraiment duré assez longtemps.
Mais en fait, on n’a jamais trouvé de solution quand j’étais enfant et j’ai appris à vivre avec. Donc ça se manifestait chez moi surtout le matin, au réveil après le petit-déj’. J’avais très souvent mal au ventre, des diarrhées, tout le temps comme ça. Et en fait, au bout d’un moment, vu que aucun médecin n’avait de solution, les gens de mon entourage, même mes parents, ils…
Donc ils sont aussi sans solution. Donc moi, je devais vivre avec. Au bout d’un moment, ça devient normal en fait comme situation. On s’habitue, alors qu’on ne devrait pas s’habituer. C’est ça. Et après, collège, lycée, moi, j’essaie de faire comme si… Enfin, de vivre une vie normale, de mettre mes problèmes de côté, même si c’est pas toujours facile. Et on n’a plus envie aussi au bout d’un moment de me déranger, de me déranger des gens, parce que au final…
Le problème me gênait moi, mais c’était pas grave. Je pouvais vivre quasi normalement, sauf le matin quand j’avais les douleurs. Et j’avais plus envie d’embêter les gens de mon entourage avec ça. Donc je faisais comme si j’avais pas de problème pendant très longtemps. Et ensuite, je suis devenu étudiant. J’ai fait des classes préparatoires pour les grandes écoles. Donc c’était beaucoup de stress, là mes problèmes se sont empirés. Et aussi je pense à un épisode qui a empiré mes problèmes, c’est que quand j’avais 17-18 ans, je me suis opéré des dents de sagesse, on m’a retiré les 4 sous anesthésie générale. Et en fait, ce qui s’est passé, c’est que mon opération s’est bien passée. Et trois semaines après, j’ai commencé à faire des abcès de côté. Donc j’ai retourné voir le chirurgien qui me donnait des antibios.
Ça passait, l’abcès revenait, il me redonné des antibios. En fait, j’ai pris des antibiotiques pendant plusieurs semaines, voire mois. Et je pense que ça a aggravé mes problèmes digestifs. Jusqu’à ce que ce chirurgien parte en congé, que j’aille voir un autre spécialiste et que lui ne m’a pas donné d’antibios, mais il me perçait l’abcès, me l’enlevait, ça revenait. Il m’a réopéré six mois après la première intervention. Et en fait, ils se sont rendu compte. Oh non, plus vite.
Il s’est rendu compte que me restait un morceau de neige hémostatique, je crois que ça s’appelait, c’est un truc qu’il utilisait pour cicatriser. Donc le chirurgien, il oubliait quelque chose dans ma gencive, ce qui faisait que j’avais des infections toutes les trois semaines. Et donc, j’ai pris énormément d’antibiotiques, ce qui ne m’a pas aidé au niveau des problèmes digestifs. Donc, ouais, avec les études, le stress, ça s’est empiré.
Et donc là, j’avais décidé d’aller revoir un médecin. C’était vraiment la pire tête pour moi, où j’étais réveillé tous les matins par des douleurs assez intenses au niveau du ventre et des diarrhées. J’avais un peu… J’avais plus le moral. Et la réponse du médecin, je lui avais dit qu’on m’avait diagnostiqué colopathe des années avant.
Sa réponse a été : « on ne peut pas faire grand-chose ». Donc là, j’ai compris que la médecine classique n’allait plus m’aider dans ce problème. Donc, j’ai continué à vivre avec parce que à part me donner du Smecta, du Spasfon et puis même des anti-diarrhéiques très puissants, que je n’ai jamais voulu prendre d’ailleurs, je ne sais pas, j’ai ce feeling que j’avais, j’ai évité les produits chimiques trop puissants. À part de me donner ça, il n’y a pas de réponse à mes problèmes. Et en fait, en étant étudiant, je suis rentré dans une école d’ingénieur et je suis parti à l’étranger pendant deux ans. Et là, c’était la période où j’étais le moins stressé, parce que j’avais peu de cours, pas mal la fête et j’avais une hygiène de vie pas très bonne. Là j’ai compris que finalement ce que me disaient les médecins souvent que c’était dans la tête et le stress, je me suis dit c’est pas possible, ça peut pas être que ça. Ça joue parce que quand j’étais stressé, les problèmes étaient empiriques. Je me dis que c’est pas la cause.
Bref, je cherchais des solutions. Je suis allé voir à l’époque naturopathe en Allemagne. J’étais en stage en Allemagne. Et j’ai fait les tests d’intolérance alimentaire. Donc j’étais intolérant au gluten et au lait de vache. Après, je ne savais pas forcément faire ça, puisque je pense que tout le monde a les mêmes intolérances.
Isabelle (moi) :
Surtout quand on a un syndrome de l’intestin irritable versus SIBO, forcément on a des intolérances alimentaires en conséquence. Donc ce test, en fait, c’est de l’argent dépensé pour rien. Surtout qu’en plus, les intolérances, elles bougent toutes les trois semaines. Donc effectivement, il n’est pas très utile.
Mathieu :
Ouais. Alors, j’ai quand même essayé de faire un régime sans lait, sans gluten. Oui. Alors, ça m’a aidé sur certains points. Notamment, j’avais des tendinites, souvent quand je faisais du sport.
Ça, c’est passé. Les problèmes digestifs ne sont pas vraiment meilleurs. Un petit peu, mais pas vraiment. Et puis sur le long terme, on a pris les répercussions régimes. Donc ça s’est revenu. Ce qui m’a aidé quand même, c’est l’hygiène de vie. J’ai repris le sport, j’ai mangé mieux, plus de produits industriels. Je m’étais mis aussi au jus de légumes, à cuisiner que les produits bruts.
Ça, ça a vraiment beaucoup aidé et j’ai réussi à contrôler mes symptômes. Ça serait vraiment amélioré à partir de ce moment-là. Je les ai baissés peut-être de 80%. Mais ça, en fait, pendant des années après ça, ça m’a quand même gêné. Ça ne m’empêchait pas de vivre.
Isabelle (moi) :
Tu continuais à vivre avec, en fait. T’essayais de les contrôler plus ou moins pour avoir une vie tenable, en fait. Mais en même temps, tu ne pouvais pas tout manger. Parce que si à partir du moment où on veut tout manger, on souffre. C’est pas possible. C’est pas tenable. Donc on est obligé de se priver de choses et de faire attention à ce qu’on mange, tout simplement.
Mathieu :
Exactement. Et je sais que si je fais un écart le lendemain matin… Je vais payer. Voilà, c’est ça. Et ça m’empêche de profiter, par exemple, si je pars en vacances ou si je vais visiter une ville, je sais que je vais pas être bien parce que je ne suis pas chez moi. Je ne sais pas si je vais avoir mal au ventre, si les toilettes dans le coin, ça m’empêche de profiter. Et puis les proches aussi le voient. Pourquoi t’es pas de bonne humeur, etc. C’est juste que je suis stressé. Donc voilà, après j’ai quand même tout le temps continué à chercher des solutions.
Isabelle (moi) :
Et qu’est-ce qui t’a amené du coup jusqu’à moi et jusqu’à le SIBO en fait? À te poser la question si t’avais pas justement un SIBO et pas la colopathie fonctionnelle ou le syndrome de l’intestin irritable, comme on t’avait dit du coup.
Mathieu :
Alors en fait, ce qui m’a amené à toi, c’est Instagram ou Google, je ne sais pas. D’accord. Je trouvais surtout un site et là, j’ai commencé à lire, j’avais regardé un petit vidéo. Et ce qui m’a dit qu’il fallait que je me teste pour le SIBO, c’est que tu disais que 80% des intestins irritables ont en fait un SIBO…
Isabelle (moi) :
Oui, 84% des intestins irritables ont en fait un SIBO.
Mathieu :
Oui. Je me suis dit, je suis obligé de tenter le truc. T’as bien fait. Oui. Et donc là, j’ai souscrit au programme COMMENT SAVOIR SI J’AI LE SIBO. Oui. Et j’ai fait le test. Et effectivement, le premier test était, quand tu l’as vu, tu m’as dit, c’est un SIBO sévère. Oui. Je t’ai quand même… Je me souviens. Je t’ai quand même bien atteint. Et ça a été… Alors…
D’un côté, je ne me réjouissais pas trop parce que ça fait tellement longtemps que j’ai des problèmes et que j’ai essayé plein de trucs et qu’on s’améliore mais ça s’est jamais éradiqué. D’un côté, j’étais un peu méfiant ou surmariné, mais de l’autre, c’est quand même un soulagement de savoir qu’on a quelque chose. Oui, et que ce n’est pas dans la tête. C’est ça, oui. On veut pouvoir poser un diagnostic au moins sur une des pathologies, parce que j’ai peut-être d’autres trucs, je sais pas. Mais au moins avoir un diagnostic et savoir qu’il y a des solutions, ça soulage.
Isabelle (moi) :
C’est bon, c’est sûr. Et du coup après, donc tu es rentré dans le programme VAINCRE SON SIBO pour traiter ton SIBO. Et du coup tu l’as éradiqué en un cycle de traitement. Donc aujourd’hui, tu n’as plus le SIBO. C’est bien ça?
Mathieu :
C’est ça, ouais. J’ai commencé au mois de juin cette année.
Par contre, j’ai été hyper strict sur le protocole. Ce qu’il faut. Pas à 100% mais à 90-90%.
Isabelle (moi) :
C’est ce qu’il faut, c’est génial. C’est là où ça a les meilleurs résultats.
Mathieu :
Ça n’a pas été facile parce qu’il y a des choses à mettre en place qui ne sont pas habituelles ou… C’est ça. Ce n’est pas normal pour une personne qui est là. Mais je l’ai fait. Je suis passé par des phases compliquées, notamment sur la phase 2 du cycle. Mais au final, je me suis retesté fin août et mon SIBO est éradiqué.
Isabelle (moi) :
Ça, c’est la super nouvelle. Donc, t’as bien avancé entre la colopathie qu’on t’avait dit qu’il fallait vivre avec. D’ailleurs, en plus, c’est surprenant qu’on t’ait dit colopathie, parce que ça devait être il y a très longtemps, du coup. Parce que colopathie, c’est le terme qu’on employait avant pour dire syndrome de l’intestin irritable. Aujourd’hui, on dit syndrome de l’intestin irritable. Puis après, effectivement, on dit c’est le stress, c’est dans votre tête, etc. Et comme tu l’as constaté par toi-même, en fait, le stress est un facteur aggravant. C’est-à-dire que ça va décupler les symptômes qu’on a, mais c’est +pas ça qui fait la maladie. Non, derrière, il y a très souvent justement un SIBO qui est la vraie pathologie et dont on peut se débarrasser. Mais à partir du moment où on ne sait même pas qu’on a un SIBO, on ne peut se débarrasser de rien du tout. Et effectivement, on doit vivre avec. Et en fait au début, moi aussi, ça a été pareil, j’ai vécu la même chose que ce que tu décris. On essaye de faire au mieux, donc on enlève le gluten, les produits laitiers. On enlève ensuite tout ce qu’on a l’impression qu’on est intolérant. Donc il y en a de plus en plus, donc on ne sait même plus quoi manger. On enlève les FODMAP, on enlève plein de choses. Et à la fin, on se retrouve avec à se faire des nœuds à la cervelle en se disant mais pourquoi j’ai encore des symptômes alors que j’ai enlevé ça, ça, ça. La vie sociale, elle devient no life, clairement. Et ça devient de plus en plus compliqué, sachant qu’au fil des mois et des années, on vit avec le SIBO. Et le SIBO, lui, ça grave. Donc, en fait, ça devient de plus en plus difficile de vivre avec, puisque le SIBO lui va grandir. Donc, les symptômes lui aussi vont augmenter, tout simplement. Donc, t’as fait vraiment le cheminement où, au début, on peut vivre avec. Moi aussi, au début, j’arrivais à vivre avec. Et puis, à un moment donné, on se dit non, c’est pas possible. Et puis, on est trop jeune pour avoir un truc fataliste de se dire non, on vit avec. Non, on ne vit pas avec, on survit avec. C’est foutre le terme. Ça, on subit. Et en fait, ce qui se passe aussi quand on ne sait pas vraiment ce qu’on a, c’est qu’on peut faire des choses qui peuvent être bien, mais à côté, on va faire des choses qui vont être pas bien et qui vont aggraver. Donc en fait, finalement, l’effet va être nul. Ouais, ouais, c’est pour ça que les gens, ils ont l’impression qu’ils font des efforts, mais qu’ils font du surplace et qui n’avancent pas et qui ne s’en sortiront jamais. Mais parce que sans le savoir, même des fois, il y a des gens qui vont lire sur des groupes Facebook ou lire sur Internet des conseils qui vont les faire, ils vont acheter des trucs. Et en fait, c’est des choses qui sont contre-productives et sans qu’ils le sachent, qui vont nourrir leurs pathologies et leurs SIBO. Donc effectivement, on fait du surplace. Et même des fois, on aggrave son cas sans le savoir. Donc oui, effectivement, c’est souvent ce qui se passe. Mais alors qu’on veut bien faire, on est bien d’accord. Oui, c’est ça. En tout cas, c’est super, c’est la bonne nouvelle en tout cas. T’as eu raison de passer ce test du SIBO et ensuite tu l’as éradiqué, c’est génial. En tout cas, vraiment, j’ai été super heureuse de t’apporter tout ça, de pouvoir vraiment t’apporter toutes ces solutions. Moi aujourd’hui, comme je l’ai vécu, c’est vraiment ma mission de vie, de permettre à d’autres personnes comme toi de s’en sortir.
Et vraiment, c’est top quoi. Et j’espère qu’on sera encore nombreux à s’en sortir. Voilà, comme toi, comme moi, et comme plein d’autres.
Mathieu :
Ah, j’espère aussi si ma vidéo peut aider.
Isabelle (moi) :
Oui. Je suis sûre qu’elle aide déjà. Voilà. Mais en tout cas, merci beaucoup Mathieu. Et puis je te dis à très bientôt.
Mathieu :
Merci. À bientôt.