Diagnostiqué syndrome de l’intestin irritable/colopathie fonctionnelle il y a 25 ans, Luc n’avait aucune solution donnée pour aller mieux.
25 ans de douleurs digestives.
25 ans d’errance médicale.
On lui disait qu’il devait vivre avec.
On lui disait que c’était son stress.
On lui disait que c’était dans sa tête.
Sauf que c’était totalement faux : Luc souffrait en réalité d’un SIBO.
Comme c’est le cas de plus de 84% des personnes diagnostiquées intestin irritable.
Grâce à cette découverte, Luc a enfin pu aller mieux.
Bien mieux, puisqu’aujourd’hui Luc a soigné et guéri son SIBO et son intestin irritable.
Et il te raconte tout dans son témoignage vidéo.
C’est certain que ce témoignage va énormément t’aider, et te faire comprendre que toi aussi tu peux guérir ton intestin irritable, toi aussi tu peux guérir ton SIBO :
Et si tu préfères lire qu’écouter la vidéo, voici la transcription texte du témoignage de Luc :
Diagnostiqué syndrome de l’intestin irritable / colopathie fonctionnelle, Luc souffrait en réalité d’un SIBO
Isabelle (moi) >>>
Bonjour, je suis ravie de vous retrouver pour une nouvelle vidéo sur ma chaîne Youtube Sante Digestion.
Et aujourd’hui, je ne suis pas seule : je suis accompagnée de Luc.
Luc qui va nous raconter son histoire et surtout son témoignage.
Luc qui souffrait d’un SIBO et de problèmes à l’estomac et qui a réussi à soigner et guérir son SIBO.
Bonjour Luc.
Luc >>>
Bonjour Isabelle.
Isabelle (moi) >>>
Alors eh bien on t’écoute, partage-nous ton histoire, ton parcours du début à la fin j’ai envie de dire.
Je pense qu’il y a beaucoup de personnes qui vont se reconnaître dans tout ce que tu as vécu.
Tu as vécu une énorme errance médicale clairement de plus de 25 ans.
Donc il y a de quoi raconter.
Donc nous t’écoutons Luc.
Luc >>>
Oui effectivement c’est ça, ça a été une longue histoire, une longue errance comme tu le dis si bien.
Puisque c’est un parcours qui a débuté à peu près il y a 25 ans.
J’ai commencé par avoir pas mal de douleurs à l’estomac, des douleurs digestives, et ça commence à faire des ballonnements, des maux de ventre, etc j’en passe. Et surtout des espèces de remontées gastriques qui me provoquaient pas mal de toux sèche.
Donc c’était extrêmement pénible.
Et donc j’ai consulté beaucoup de médecins spécialistes, bien entendu tous les spécialistes possibles et imaginables.
Et j’ai été catégorisé colopathe fonctionnel.
À l’époque on appelait ça des colopathes fonctionnels, maintenant ça n’a plus tout à fait le même nom, c’est intestin irritable ou des choses comme ça.
Et donc voilà, j’ai été pendant à peu près 25 ans avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête de colopathie fonctionnelle, sans pouvoir faire quoi que ce soit : il n’y avait aucun traitement possible et il fallait vivre avec, voilà.
Isabelle (moi) >>>
Et qu’est-ce qu’on te disait concrètement en fait, c’est-à-dire que tu allais consulter, on te disait bah voilà vous avez une colopathie fonctionnelle, effectivement qu’on appelle aujourd’hui syndrome de l’intestin irritable.
Et finalement qu’est-ce qu’on te proposait par rapport à tes douleurs justement que tu avais ?
Luc >>>
On proposait rien en fait.
Oui bah on me disait juste qu’il fallait vivre avec, faire attention à ce que je mange, mais sans vraiment de régime précis.
Non j’étais en errance complète comme beaucoup je pense.
Et sans possibilité de voir le bout du tunnel.
Donc voilà j’ai fait plusieurs médecins bien entendu des spécialistes etc, tout était normal.
Isabelle (moi) >>>
Oui donc et à partir du moment où tout est normal c’est là qu’on catégorise colopathie fonctionnelle / syndrome de l’intestin irritable.
Malheureusement voilà, c’est là que commence une errance sans nom de 25 ans, voilà pour toi, qui est énorme.
Surtout sans solution c’est ça le pire.
Parce que quand on est catégorisé comme ça et qu’on n’a pas de solution, c’est très très long 25 ans, c’est très très pénible surtout avec des symptômes de plus en plus importants.
Luc >>>
Voilà donc ensuite je suis passé par la chirurgie : on m’a opéré d’une hernie hiatale.
Puisque j’avais une hernie au niveau de l’estomac.
Opération qui n’a apporté aucune amélioration aux symptômes.
Donc toujours autant de toux et de remontées gastriques.
Donc voilà, c’était vraiment très très très pénible et ça a accentué cette impression vraiment de : il y a aucune solution.
Isabelle (moi) >>>
Ben moi-même en fait, on m’avait proposé aussi cette opération.
Parce que moi on m’a diagnostiqué aussi quand j’avais des problèmes d’estomac, de douleurs à l’estomac, de reflux
On m’avait donc donné des IPP et on m’avait diagnostiqué une hernie hiatale.
Et on m’avait effectivement proposé la même opération que toi tu as faite, et que moi il y avait un petit truc dans ma tête qui me disait faut pas faire.
Vraiment je sais pas, j’ai eu un instinct vraiment animal, je sais pas comment le qualifier, qui m’a dit non non non non.
Et pourtant on me disait : voilà vous avez une hernie hiatale, si vous voulez arrêter bah justement ce reflux, ces douleurs à l’estomac, faut vous faire opérer, il y a pas d’autre choix.
Donc effectivement toi on te l’a aussi proposé.
Et donc aujourd’hui s’il y a quelqu’un bah justement qui nous écoute et qui a fait cette opération ou à qui on a proposé cette opération, est-ce que tu lui conseillerais ou tu lui déconseillerais ?
Luc >>>
Je pense qu’il ne faut surtout pas le faire mais bon je ne suis pas médecin.
Isabelle (moi) >>>
Mais oui c’est par rapport à ton vécu.
Luc >>>
D’après mon vécu ça n’a rien changé au final.
Après je ne suis pas médecin, donc je suis pas capable de porter un diagnostic sur chacun mais pour moi au contraire ça apporte des désagréments.
Même maintenant, certains jours la nourriture a du mal à passer puisqu’ils ont retiré au niveau de l’œsophage, ils ont rétréci.
Donc ça apporte plus d’inconvénients maintenant actuellement pour moi que d’avantages.
Si c’est à refaire bien sûr que je ne le referai pas du tout.
Isabelle (moi) >>>
D’accord et au niveau de tes symptômes du coup à ce moment-là donc tu étais toujours sous IPP ?
Luc >>>
C’est ça : à cette époque là, j’étais sous IPP oui, pendant plusieurs années : 3 ans.
Et là aussi ça m’a apporté aucune amélioration.
Au début si peut-être pendant 2 – 3 mois.
Mais après ça a stagné et peut-être que c’est ça qui a créé le SIBO.
C’est probablement ça ou une des causes qui a amené le SIBO.
Isabelle (moi) >>>
Oui parce qu’effectivement la prise des IPP – inhibiteur de pompe à la proton – donc les médicaments que l’on donne lorsqu’on a des problèmes de douleur d’estomac, de reflux effectivement sont l’une des causes qui peut donner un SIBO
Effectivement ben ça a été mon cas aussi d’ailleurs : ça a été pareil, ça a commencé moi par des douleurs à l’estomac, on m’a donné les IPP, et puis après j’ai développé mon SIBO.
Après c’est pas forcément que la seule cause du SIBO et d’ailleurs dans ton cas je pense que tu en avais d’autres aussi et moi pareil.
Mais cela en est une, ça c’est certain.
Luc >>>
Oui c’est une conjonction de causes qui amène certainement le SIBO.
Isabelle (moi) >>>
C’est ça et puis en plus dans ta situation donc, tu disais que tu avais aussi des ballonnements.
Donc tu n’avais pas que des douleurs à l’estomac en fait.
Luc >>>
Non non, il y avait pas que des douleurs à l’estomac : il y avait d’autres symptômes, diarrhées, des choses comme ça très désagréables à répétition en permanence.
Donc beaucoup beaucoup de symptômes tout le long de la la chaîne digestive on va dire.
Isabelle (moi) >>>
Oui et du coup qu’est-ce qui a fait que tu es arrivé finalement à moi? à mon blog santedigestion.com et à mon programme ,
Parce que finalement tu t’es inscrit au programme comment savoir si j’ai le SIBO pour savoir si tu avais un SIBO.
Qu’est-ce qui t’a amené à ça après justement tes 25 ans d’errance ?
Luc >>>
À force de faire des recherches.
J’ai lu des livres déjà aussi, notamment le livre qui m’a beaucoup appris de choses sur le SIBO.
Et puis donc là je me suis aperçu que je correspondais au symptômes qu’elle décrit dans son livre.
Et donc j’ai fait des recherches petit à petit sur Internet et puis un jour je suis tombé sur ton blog.
Et là je me suis dit : tiens on dirait qu’elle a vécu quelque chose de similaire.
Et donc bah j’ai continué puis je me suis inscrit effectivement au programme.
👉🏻 Programme COMMENT SAVOIR SI J’AI LE SIBO
Isabelle (moi) >>>
Oui et finalement donc tu avais un SIBO.
Luc >>>
Et finalement j’avais un SIBO.
Les tests respiratoire l’ont bien révélé.
C’est assez important, des niveau très élevé de gaz.
Isabelle (moi) >>>
Oui. Tu avais quel type de SIBO ?
Luc >>>
Au départ SIBO méthane, ensuite il a migré vers un SIBO mixte hydrogène méthane et à la fin il était plutôt méthane, jusqu’à ce qu’il disparaisse totalement.
Isabelle (moi) >>>
Oui donc ta colopathie fonctionnelle n’était pas une colopathie fonctionnelle et était en réalité un SIBO.
Du coup tu as découvert ça donc via le programme Comment savoir si j’ai le SIBO.
Et aujourd’hui est-ce que tu as encore le SIBO ou tu ne l’as plus ?
Luc >>>
Non là il est éradiqué.
Donc j’ai les résultats du dernier test respiratoire : là les niveau sont revenus normaux, sont revenus à la normale.
Isabelle (moi) >>>
Donc il y a eu une nette progression au niveau des résultats de test respiratoire entre le premier test et le dernier.
Luc >>>
Oui il y a une évolution importante, très importante, donc les symptômes sont encore là parce que c’est récent mais ils ont énormément diminué, puisque je les estime à peu près à un gain de 50% sur les symptômes, ce qui est énorme.
Isabelle (moi) >>>
Ce qui est énorme surtout vu ton passif au niveau des 25 années d’errance quoi clairement, parce que effectivement quand on a autant d’années d’errance finalement te traiter c’est d’autant plus long, plus on attend.
Et c’est ça la difficulté quand on a connu l’errance, c’est que plus on attend, plus on est dans l’errance, plus les choses s’aggravent et plus ça va être compliqué aussi de s’en sortir.
Donc vraiment c’est génial pour toi que tu as pu découvrir – bon c’est 25 ans c’est long je te l’accorde – mais que tu as pu découvrir que tu avais un SIBO et que c’était la réelle maladie qui se cachait derrière ta colopathie fonctionnelle, qui est finalement qu’une étiquette qu’on donne en fait quand les médecins ne trouvent rien aux examens classiques.
Mais je le répète souvent, mais en fait plus de 8 personnes sur 10 qui sont justement diagnostiqués avec ce fameux colopathie fonctionnelle / syndrome de l’intestin irritable ont un SIBO.
84% c’est énorme donc plus de 8 personnes sur 10 ont un SIBO.
Et il y a en général beaucoup d’années d’errance.
Moi-même j’en ai connu, tu en as connu encore plus que moi.
Moi au bout de 6 ans j’étais déjà au bout de ma vie donc franchement chapeau pour les 25 années parce que je franchement, ouais vraiment chapeau.
Mais il y a encore des personnes qui voilà ça fait 10, 20, 30 ans, 40 ans qu’elle galèrent et qu’elle n’arrivent pas à s’en sortir.
Et c’est ça qui est horrible quoi vraiment.
Luc >>>
Oui bien sûr c’est c’est très long.
Mais moi j’ai jamais perdu l’espoir.
J’ai toujours essayé de chercher de trouver des solutions.
Isabelle (moi) >>>
C’est génial ça.
Luc >>>
Puis bon finalement ça a payé : je m’estime pas complètement guéri mais je peux manger de tout.
Effectivement le gluten je peux en remanger mais en petite quantité pas plus exagéré. Je mange de tout, des laitages, j’ai plus vraiment de restriction à ce niveau donc je peux mener une vie parfaitement normale sans aucun problème.
Ça pour moi, c’est une grande victoire oui.
Isabelle (moi) >>>
Bah oui clairement c’est sûr, une grande victoire parce que c’est très très compliqué socialement d’être contraint au niveau de la nourriture, c’est très compliqué pour l’avoir vécu.
Luc >>>
Oui déjà c’est ça, c’est ce que m’a apporté ton programme à ce niveau là c’est énorme !
Isabelle (moi) >>>
Ben j’en suis ravie !
Parce qu’en fait donc du coup après que tu as appris donc via le programme comment savoir si j’ai le SIBO que ta colopathie fonctionnelle en réalité était un SIBO et que tu souffrais d’un SIBO qui était en plus plutôt élevé, du coup tu as intégré le programme VAINCRE SON SIBO.
Tu as été hyper assidu dans le programme, vraiment c’est génial, c’est comme ça qu’il faut faire pour justement pouvoir s’en sortir.
Et donc à la fin maintenant aujourd’hui donc tu as vaincu ton SIBO, tu ne l’as plus.
Combien de cycles il t’a fallu pour justement te débarrasser de ton SIBO ? Je pense que c’est une donnée intéressante dans le temps car comme on le disait, plus on a d’errance et on a vécu longtemps avec des douleurs digestives sans savoir justement qu’on avait le SIBO, plus c’est long de s’en sortir.
Et du coup ça peut être intéressant pour les personnes qui nous écoutent de savoir combien en moyenne après 25 ans d’errance et de douleurs on met de cycles pour pour se traiter et pour soigner son SIBO.
Luc >>>
Oui alors bon moi j’ai commencé non pas par un cycle classique de plantes antibactériennes.
J’ai voulu commencer, j’ai voulu attaquer fort : j’ai commencé par une diète élémentaire.
Parce que je me disais : bon ben ça fait 25 ans, il faut attaquer le problème de manière énergique.
Donc j’ai commencé par une diète élémentaire.
Malheureusement ben je m’en doutais, ça n’a pas éradiqué au bout de la diète donc c’est une diète qui a duré 3 semaines, ça a été, c’est passé relativement facilement on va dire, bon c’est pas simple mais c’était supportable on va dire.
Et effectivement le résultat c’est que le SIBO était toujours là donc j’ai enchaîné ensuite sur quatre cycles de traitement antibactérien.
Isabelle (moi) >>>
D’accord 4 cycles au final.
Luc >>>
Ouais au final, il a fallu une diète plus quatre cycles de traitement en plantes antibactériennes.
Isabelle (moi) >>>
D’accord. Ce qui est relativement peu finalement comparé au 25 ans d’errance quoi clairement.
Luc >>>
Oui oui oui oui je m’attendais pas à moins franchement.
Quand j’ai dit que ça faisait 25 ans, je me suis dit : bon ça va pas être simple.
Isabelle (moi) >>>
Oui.
D’autant qu’il y a des études qui montrent, alors j’avais lu un livre qui disait qui avait donc une source d’étude qui disait qu’il fallait la moitié du temps qu’on a été malade pour s’en sortir.
Donc imagine finalement si tu avais mis 25 ans que divise 2, donc tu as été hyper rapide !
Donc ça a bien bien fonctionné, tu as bien suivi le protocole expliqué dans le programme VAINCRE SON SIBO.
Franchement voilà ça a bien fonctionné et c’est top.
Luc >>>
Oui oui. Alors ça demande une discipline assez importante effectivement mais il faut essayer de le faire sans se prendre la tête et en écoutant ses sensations; son ressenti.
Et puis heureusement ça aboutit positif.
Isabelle (moi) >>>
C’est ça. Avec le SIBO éradiqué clairement.
Et à quelqu’un qui justement aujourd’hui est en errance comme tu as pu être : qu’est-ce que tu lui conseillerais ?
Luc >>>
Je conseillerais surtout de ne pas lâcher, faut pas désespérer, je sais que ça peut être extrêmement pénible et extrêmement démoralisant ces symptômes digestifs, le social ça peut être compliqué et aussi au niveau professionnel, également au niveau individuel, familial. Ça peut entraîner beaucoup de complications.
Mais si le jeu en vaut la chandelle, la lumière au bout du tunnel qui en principe va arriver.
Moi je m’y attendais plus donc quand j’ai vu le résultat, j’étais fou de joie !
Isabelle (moi) >>>
Ben oui c’est clair.
Luc >>>
J’avais un peu perdu espoir hein franchement mais bon heureusement c’est donc il faut pas perdre faut pas perdre l’espoir.
Voilà c’est le seul conseil que je pourrais donner.
Isabelle (moi) >>>
Oui pas perdre espoir.
Et puis et surtout il faut pas finalement croire ce qu’on peut nous dire, c’est-à-dire que c’est dans notre tête, qu’on peut pas s’en sortir, qu’on doit vivre avec, que c’est le stress, etc etc, qu’il faut aller voir un psy.
Parce que le stress, il a bon dos mais effectivement de mettre un diagnostic quel qu’il soit, côlon irritable, colopathie fonctionnelle, syndrome de l’intestin irritable alors qu’en réalité derrière il y a une maladie le SIBO qui peut se guérir et se soigner et qu’on peut s’en débarrasser définitivement, et c’est ça le problème je pense aujourd’hui à l’heure actuelle de toutes ces personnes qui sont en errance.
C’est qu’elles ne savent pas réellement de quoi elles souffrent.
Et en plus de ça elles ne connaissent pas réellement le bon protocole à suivre pour justement pouvoir guérir.
Il est là la problématique.
Donc tout mettre – je pense que tu seras d’accord avec moi – mais tout mettre sur la faute finalement du psychologique, je pense que c’est un peu trop, c’est un peu trop.
Luc >>>
C’est trop oui.
Alors certainement en ligne de compte oui le stress était sûrement des critères, mais pas que ça c’est pas vrai, ce n’est pas possible, ça fait pas tout c’est clair.
Isabelle (moi) >>>
Ça fait pas tout : il contribue à aggraver les symptômes, ça c’est certain mais j’ai envie de dire, qui ne serait pas stressé en ayant des douleurs digestives quotidiennes à subir pendant 1, 2 voire 25 ans comme toi au quotidien qui invalide complètement une vie personnellement !
Moi j’ai jamais été plus stressée que la moyenne mais au fil des années avec mes douleurs digestives je commençais à devenir hyper stressée.
Oui parce que vivre ça au quotidien, c’est un enfer clairement.
C’est pas une vie, c’est une survie donc forcément n’importe qui deviendrait stressé en subissant ça et moi j’en suis persuadée.
Luc >>>
Oui oui on devient stressé.
Isabelle (moi) >>>
Bah oui c’est ça exactement on peut le devenir ça c’est clair.
Luc >>>
Bon alors moi je pense que le stress a joué quand même un petit peu au départ, plus des intoxications alimentaires, des prises d’IPP, etc.
Donc c’est une conjonction de plusieurs, c’est ça qui m’a amené au SIBO ça je pense que c’est sûr.
Alors j’ai travaillé quand même un peu sur sur le stress pendant tout le programme, j’avais quand même travaillé sur cet aspect là de par du yoga, des choses comme c’est bien ça gymnastique holistique que j’ai faite pendant ton programme avec Christine. Et voilà donc ça ça améliore les choses mais c’est pas, ça ne vient pas uniquement du stress, non.
Isabelle (moi) >>>
Ben non parce que par exemple aujourd’hui, tu peux avoir des pics de stress comme n’importe qui, c’est pas pour ça que ton SIBO il va revenir.
Donc non non du tout.
Et encore tu vois là tu parles de SIBO parce que tu as découvert via le programme Comment savoir si j’ai le SIBO que finalement tu souffrais d’un SIBO après toutes ces années d’errance.
Mais il y a des personnes aujourd’hui qui ne le savent même pas.
Qui sont avec un diagnostic qui est un faux diagnostic, une étiquette ou même rien du tout.
Et c’est là le le souci.
Parce que déjà de savoir bah qu’on a une maladie, qu’on peut la traiter, l’éradiquer, s’en débarrasser, guérir : mais rien que ça tu vas donner de l’espoir à des millions de personnes qui aujourd’hui sont en souffrance comme tu l’as été, comme je l’ai été, et comme des millions de personnes le sont.
Luc >>>
Oui oui oui ça apporte déjà le fait de savoir qu’on peut en guérir déjà, c’est c’est énorme, c’est énorme.
Moi pendant deux décennies, je pensais que je ne guérirai jamais.
Donc voir la lumière au bout du tunnel c’est, même si le chemin est difficile, déjà ça c’est énorme, ça permet d’avoir un espoir et c’est primordial parce que sinon on peut pas, on peut pas en guérir.
Isabelle (moi) >>>
Ben oui c’est sûr, ben merci beaucoup Luc, je te remercie beaucoup.
Tu vas franchement avec ton témoignage aider énormément de personnes qui vont se reconnaître dans ton histoire, qui vont reprendre espoir aussi qu’on peut s’en sortir, qu’on peut guérir, qu’on peut se débarrasser de ses troubles digestifs, que vivre avec des troubles digestifs n’est pas une vie mais clairement une survie.
Donc merci beaucoup Luc et puis nous te remercions et je vous dis à bientôt au revoir.